vendredi 20 juin 2014
Travail de nuit - Prévention
Pour tous les travailleurs de nuit.
Téléchargez la plaquette
CGSS-TS ; CARSAT ; CGSS
http://www.travailler-mieux.gouv.fr/IMG/pdf/Version_finale-travail_de_nuit_A5.pdf
Lancement de la campagne « Travaux en hauteur, pas droit à l’erreur »
Les chutes de hauteur figurent parmi les priorités du Plan Santé Travail de l’Etat, la Convention d’objectifs et de gestion 2014-2017 de la branche accidents du travail / maladies professionnelles et du plan Horizon 2015 de l’OPPBTP.
C’est la raison pour laquelle, le ministère chargé du travail engage une action nationale avec les principaux acteurs de la prévention des risques professionnels : « Travaux en hauteur, pas droit à l’erreur ».
Les ministères chargés du travail et de l’agriculture, la CNAMTS (1), l’INRS (2), la MSA (3), le RSI (4), la CNRACL (5) et l’OPPBTP (6) s’associent pour sensibiliser les chefs d’entreprise et les maîtres d’ouvrage au risque de chutes de hauteur.
En effet, les chutes de hauteur restent a
Ce risque représente un enjeu de sécurité majeur au regard de la vie des personnes et de la performance des entreprises.
Ce risque représente un enjeu de sécurité majeur au regard de la vie des personnes et de la performance des entreprises.
Consulter
(1) Caisse nationale de l’assurance maladie des travailleurs salariés
(2) Institut national de recherche et de sécurité
(3) Mutualité sociale agricole
(4) Régime social des indépendants
(5) Caisse nationale des retraites des agents des collectivités locales
(6) Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics
(3) Mutualité sociale agricole
(4) Régime social des indépendants
(5) Caisse nationale des retraites des agents des collectivités locales
(6) Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics
jeudi 19 juin 2014
News : sécurité des motards
Démonstration - Comment fonctionne l'airbag moto ?
Regardez la vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=fWXgYsH_h-k&index=2&list=PLKAhYoOVYE-Gr4Pku7gZxV0w4AQ2ewlDJ
Regardez également sur la même page :
- L'avis du Dr François Genet, hôpital de Garches
- L'avis d'un motard
- L'avis d'un gendarme motocycliste
dimanche 15 juin 2014
Campagne de recrutement de Sapeurs-pompiers volontaires
Si vous souhaitez agir en faveur du secours d'urgence (assistance aux personnes, lutte contre l'incendie, etc), vous pouvez devenir sapeur-pompier volontaire. Par opposition aux pompiers professionnels, les sapeurs-pompiers volontaires ne sont pas rémunérés, mais seulement indemnisés. Ils sont ainsi souvent appelés "pompiers bénévoles".
Conditions d'engagement
Vous devez remplir les conditions cumulatives suivantes.
Âge
Vous devez être âgé d'au moins 16 ans et d'au plus 60 ans.
Si vous avez moins de 18 ans, vous devez recueillir l'accord écrit de vos parents ou de votre tuteur.
Vous devez signer votre premier engagement avant l'âge de 56 ans.
Aptitude physique
Vous devez avoir une condition physique compatible avec une activité opérationnelle qui sera vérifiée à l'occasion d'une visite médicale de recrutement.
Situation au regard du service national
Vous devez être en position régulière au regard des obligations de service national.
Situation au regard de la citoyenneté
Vous devez jouir de vos droits civiques et ne pas avoir fait l'objet d'une condamnation incompatible avec l'exercice des fonctions.
À noter : il n'est pas nécessaire d'être de nationalité française pour devenir sapeur-pompier volontaire.
Engagement
Les dossiers de candidature s'obtiennent par courrier adressé au service départemental d'incendie et de secours (Sdis).
La sélection parmi les candidats est effectuée par le Sdis, suivant des modalités et des critères qu'il fixe lui-même.
Durée
Le sapeur-pompier volontaire s'engage pour une période de 5 ans, renouvelable tacitement, sous réserve que les conditions d'âge et d'aptitude physique demeurent remplies.
Vous pouvez suspendre votre engagement pour raisons personnelles, pendant une ou plusieurs périodes, dans la limite d'un cumul de 5 ans.
Le 1er engagement comporte une période probatoire comprise entre 1 et 3 ans, sauf pour les titulaires du brevet national de jeunes sapeurs-pompiers, qui en sont dispensés.
À savoir : l'engagement s'impose à votre employeur ; sauf nécessité absolue de service, celui-ci doit autoriser toute absence justifiée par une mission (cette absence n'est pas rémunérée par l'employeur).
Formation
La formation initiale dure au moins 1 an. Ensuite, vous vous formez de façon permanente pour maintenir vos compétences et développer vos spécialités.
La formation vous permet d'avoir le même niveau qu'un sapeur-pompier professionnel.
La formation continue permet aussi de s'inscrire dans des logiques de carrière et d'avancement dans des grades de commandement (jusqu'au grade de colonel).
Déroulement de carrière
La carrière des sapeurs-pompiers volontaires se déroule à l'intérieur d'une hiérarchie comprenant :
- les sapeurs,
- les caporaux,
- les sous-officiers (sergents et adjudants),
- les officiers (lieutenants, capitaines, commandants, lieutenants-colonels et colonels).
L'avancement dans les grades est soumis à des conditions d'ancienneté et de formation.
Activités
Les sapeurs-pompiers volontaires ont vocation à participer à l'ensemble des missions de sécurité civile ; ils concourent notamment aux actions de prévention, de formation et aux opérations de secours pour la sauvegarde des personnes, des biens et de l'environnement.
Indemnisation et avantages
Par opposition aux pompiers professionnels, les sapeurs-pompiers volontaires ne sont pas rémunérés, mais seulement indemnisés.
Ils sont ainsi souvent appelés "pompiers bénévoles", bien qu'ils tirent des revenus de leur engagement.
Indemnité horaire
Suite de l'article :
Autres sites :
samedi 7 juin 2014
Accessibilité : mise en place de l’Ad’AP, mode d’emploi
En septembre 2013, le Gouvernement avait lancé une concertation pour compléter et améliorer le volet accessibilité de la loi du 11 février 2005, en vue de son application pour le 1er janvier 2015. Parmi les propositions phares, la mise en place de l’Ad’AP, l’Agenda d’accessibilité programmée.
Source : www.gouvernement.fr
Pourquoi créer l’Ad’AP ?
La loi du 11 février 2005 est ambitieuse et les progrès en matière d’accessibilité sont incontestables. Cependant, il s’avère que l’échéance de 2015 sera difficile à respecter pour nombre d’acteurs publics et privés. Cette loi est toujours d’actualité mais, pour maintenir l’objectif du 1er janvier 2015 pour la mise en accessibilité des personnes handicapées dans les transports collectifs et les établissements recevant du public, le Premier ministre a confirmé la mise en place d’Agendas d’accessibilité programmée.
L’Ad’AP, c’est quoi ?
L’Ad’AP est un dispositif d’exception qui permettra aux acteurs qui ne sont pas en conformité avec les règles d’accessibilité posées par la loi de 2005 de s’engager dans un calendrier précis. L’Ad’AP est un acte volontaire d’engagement qui ne se substitue pas à la loi de 2005 mais qui la complète.
Ces agendas s’adressent aux maîtres d’ouvrage et aux exploitants d’établissements recevant du public (ERP), quelle que soit leur catégorie.
Comment ça marche ?
Les dossiers d’engagement à entrer dans la démarche Ad’AP devront être déposés avant le 31 décembre 2014 ou, au plus tard, douze mois après la publication de l’ordonnance. Les projets d’Ad’AP devront être validés par le préfet. Cette validation permettra ainsi de d'entériner l’échéancier pour la mise en accessibilité.
L’Ad’ADP est un engagement irréversible. Un dossier validé devra être mené à son terme. Pour cela, le dispositif comportera des points de contrôle réguliers et une validation à son terme.
Des sanctions financières graduées seront appliquées en cas de non-respect de l’Ad’AP. Le produit des sanctions sera réinvesti au profit de l’accessibilité universelle.
Quels sont les délais pour se mettre aux normes ?
Les Ad’AP prévoient des durées crédibles et resserrées. Elles doivent être réalistes et attractives. Selon les catégories d’ERP, les durées iront de 1 à 6 ans.
Cependant, "les délais, prévus dans le cadre de la loi 2005 ne sont pas repoussés et les sanctions demeurent", rappelle Marie-Lise Campion, sénatrice de l’Essonne et présidente de la concertation.
Le non-respect de l’échéance du 1er janvier 2015, sauf dérogation validée, reste passible de sanctions pénales. L’Ad’AP permettra de poursuivre en toute sécurité juridique les travaux d’accessibilité après le 1er janvier 2015.
Le calendrier
Une campagne de communication sera rapidement mise en place pour mobiliser et informer l’ensemble des acteurs sur ce dispositif.
Un projet de loi d’habilitation à légiférer par ordonnance sera présenté au mois d’avril en Conseil des ministres par Marisol Touraine et Marie-Arlette Carlotti pour une ordonnance publiée à l’été.
Le dispositif de l’Ad’AP sera renforcé et complété par l’évolution d’un certain nombre de normes relatives à l’accessibilité pour tenir davantage compte de la qualité d’usage et permettre à la fois de simplifier et d’actualiser de nombreuses normes et dispositions réglementaires, ainsi que de les compléter pour mieux prendre en compte l’ensemble des formes de handicap.
Source : www.gouvernement.fr
Pourquoi créer l’Ad’AP ?
La loi du 11 février 2005 est ambitieuse et les progrès en matière d’accessibilité sont incontestables. Cependant, il s’avère que l’échéance de 2015 sera difficile à respecter pour nombre d’acteurs publics et privés. Cette loi est toujours d’actualité mais, pour maintenir l’objectif du 1er janvier 2015 pour la mise en accessibilité des personnes handicapées dans les transports collectifs et les établissements recevant du public, le Premier ministre a confirmé la mise en place d’Agendas d’accessibilité programmée.
L’Ad’AP, c’est quoi ?
L’Ad’AP est un dispositif d’exception qui permettra aux acteurs qui ne sont pas en conformité avec les règles d’accessibilité posées par la loi de 2005 de s’engager dans un calendrier précis. L’Ad’AP est un acte volontaire d’engagement qui ne se substitue pas à la loi de 2005 mais qui la complète.
Ces agendas s’adressent aux maîtres d’ouvrage et aux exploitants d’établissements recevant du public (ERP), quelle que soit leur catégorie.
Comment ça marche ?
Les dossiers d’engagement à entrer dans la démarche Ad’AP devront être déposés avant le 31 décembre 2014 ou, au plus tard, douze mois après la publication de l’ordonnance. Les projets d’Ad’AP devront être validés par le préfet. Cette validation permettra ainsi de d'entériner l’échéancier pour la mise en accessibilité.
L’Ad’ADP est un engagement irréversible. Un dossier validé devra être mené à son terme. Pour cela, le dispositif comportera des points de contrôle réguliers et une validation à son terme.
Des sanctions financières graduées seront appliquées en cas de non-respect de l’Ad’AP. Le produit des sanctions sera réinvesti au profit de l’accessibilité universelle.
Quels sont les délais pour se mettre aux normes ?
Les Ad’AP prévoient des durées crédibles et resserrées. Elles doivent être réalistes et attractives. Selon les catégories d’ERP, les durées iront de 1 à 6 ans.
Cependant, "les délais, prévus dans le cadre de la loi 2005 ne sont pas repoussés et les sanctions demeurent", rappelle Marie-Lise Campion, sénatrice de l’Essonne et présidente de la concertation.
Le non-respect de l’échéance du 1er janvier 2015, sauf dérogation validée, reste passible de sanctions pénales. L’Ad’AP permettra de poursuivre en toute sécurité juridique les travaux d’accessibilité après le 1er janvier 2015.
Le calendrier
Une campagne de communication sera rapidement mise en place pour mobiliser et informer l’ensemble des acteurs sur ce dispositif.
Un projet de loi d’habilitation à légiférer par ordonnance sera présenté au mois d’avril en Conseil des ministres par Marisol Touraine et Marie-Arlette Carlotti pour une ordonnance publiée à l’été.
Le dispositif de l’Ad’AP sera renforcé et complété par l’évolution d’un certain nombre de normes relatives à l’accessibilité pour tenir davantage compte de la qualité d’usage et permettre à la fois de simplifier et d’actualiser de nombreuses normes et dispositions réglementaires, ainsi que de les compléter pour mieux prendre en compte l’ensemble des formes de handicap.
Guide de la Préfecture de Police pour les visiteurs étrangers
Quelques conseils de prévention (traduit en 5 langues : anglais, espagnol, russe, arabe, coréen, chinois et japonais) sont prodigués aux touristes.
Pour la page de toutes les publications, cliquez ici :
http://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/Nous-connaitre/Services-et-missions/Service-de-la-communication/Nos-publications
PRÉVENTION ET SÉCURITÉ
TOURISTES : PARIS EN TOUTE SÉCURITÉ
- Guide to staying safe in Paris (anglais)
- Guia Paris con toda seguridad (espagnol)
- 巴黎旅游安全指南 (chinois)
- パリ安全ガイド (japonais)
- 파리 가이드 안전하게 여행하기 (coréen)
- دليل الأمن في باريس (arabe)
- БЕЗОПАСНОСТЬ В ПАРИЖЕ: РУКОВОДСТВО ДЛЯ ТУРИСТОВ (russe)
Pour la page de toutes les publications, cliquez ici :
http://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/Nous-connaitre/Services-et-missions/Service-de-la-communication/Nos-publications
vendredi 30 mai 2014
Des sirènes le 1er mercredi du mois ! À quoi servent-elles ?
Le réseau national d'alerte (RNA), constitué
d'environ 4 500 sirènes, a pour but d'alerter la population en cas de danger
immédiat. Les sirènes émettent alors un signal modulé, montant et descendant,
composé de trois séquences d'une minute 41 secondes, séparées par un silence de
cinq secondes.
Les essais de sirènes du réseau national d'alerte se déroulent le premier
mercredi de chaque mois, à midi et midi plus dix minutes.
Les essais de sirènes du réseau national d'alerte se déroulent le premier mercredi de chaque mois, à midi et midi plus dix minutes.
Sirènes : pour quoi faire ?
Ce réseau, hérité de la seconde guerre
mondiale, conçu au départ pour alerter les populations d'une menace aérienne
(bombardement classique ou nucléaire), peut être utilisé pour faire face à la
montée des risques technologiques ou naturels sans pour autant méconnaître les
menaces militaires ou terroristes.
Lors d'un accident majeur ou d'une grande
catastrophe (nuage toxique, accident nucléaire...), les sirènes du RNA
permettent, de jour comme de nuit, d'attirer rapidement l'attention des
populations pour qu'elles prennent les mesures de sauvegarde appropriées.
L'alerte des populations au moyen des sirènes
peut être complétée par d'autres dispositifs comme par exemple, les sirènes ou
haut-parleurs montées sur des véhicules, très utiles dans les zones rurales ou
isolées.
Comment reconnaître le signal ?
La France a défini un signal unique au plan
national (Décret n°2005-1269 du 12 octobre 2005, Arrêté du 23 mars 2007). Il se
compose d'un son modulé, montant et descendant, de trois séquences d'une minute
41 secondes séparées par un silence de cinq secondes. Il ne peut donc pas être
confondu avec le signal d'essai d'une minute seulement, diffusé à midi le
premier mercredi de chaque mois ou avec les déclenchements brefs utilisés par
certaines communes pour l'appel des pompiers. La fin de l'alerte est annoncée
par un signal continu de 30 secondes.
Ce qu'il faut faire
La mise à l'abri est la protection immédiate
la plus efficace. Elle permet d'attendre dans les meilleures conditions
possibles l'arrivée des secours.
Au signal, il faut :
·
rejoindre sans délai un local clos, de
préférence sans fenêtre, en bouchant si possible soigneusement les ouvertures
(fentes, portes, aérations, cheminées…).
·
Arrêter climatisation, chauffage et
ventilation.
·
Se mettre à l'écoute de la radio :
France Inter, France Info ou des radios locales.
Ce qu'il ne faut pas faire
·
rester dans un véhicule.
·
Aller chercher ses enfants à l'école
(les enseignants se chargent de leur sécurité).
·
Téléphoner (les réseaux doivent rester
disponibles pour les secours).
·
Rester près des vitres.
·
Ouvrir les fenêtres pour savoir ce qui
se passe dehors.
·
Allumer une quelconque flamme (risque
d'explosion).
·
Quitter l'abri sans consigne des
autorités.
La sécurité est l'affaire de chacun, il est
normal de s'y préparer.
L'alerte est destinée à prévenir de l'imminence d'une situation mettant en jeu la sécurité de la population et permet de prendre immédiatement les mesures de protection.
Elle peut être donnée pour signaler un nuage toxique ou explosif, un risque radioactif, une menace d'agression aérienne, certains risques naturels.
L'alerte est destinée à prévenir de l'imminence d'une situation mettant en jeu la sécurité de la population et permet de prendre immédiatement les mesures de protection.
Elle peut être donnée pour signaler un nuage toxique ou explosif, un risque radioactif, une menace d'agression aérienne, certains risques naturels.
LA source d'information : la radio
Mettez-vous immédiatement à l'écoute de
France Inter ou de France Info. C'est par ce moyen que vous recevrez les
informations sur la nature du risque, ainsi que les premières consignes. Le cas
échéant, ces informations seront également diffusées sur les radios locales.
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